Première Ligue 2011

4-0 pour Arsenal en coupe !

Maradona rêve d'Angleterre


Diego Maradona (ARG), 50 ans le 30 octobre, a déclaré qu'il aimerait entraîner un club anglais. "Oui, j'aimerais entraîner en Premier League. Il y a de très bonnes équipes, un niveau exceptionnel et de grands joueurs", a dit le champion du monde 1986, ex- sélectionneur de l'Albiceleste, dans un entretien avec la chaîne Sky Sports. "Leseul problème, c'est que toutes les équipes que j'aime ont déjà de bonsentraîneurs. Si un poste important se présente, je l'accepterai", a dit la star. "Ilsm'ont retiré l'équipe nationale de façon injuste. Mais je ne veux pasparler de gens qui ne méritent pas mes mots. L'équipe nationale memanque", a ajouté "Pibe de Oro", remercié après l'élimination del'Argentine par l'Allemagne (4-0) en quarts de finale du Mondial 2010.

Gérard Houllier, le nouveau manageur d'Aston Villa, indiqué vendredi vouloir recruter "un ou deux joueurs" pendant le mercato d'hiver en janvier.

"Jen'aime pas janvier parce que ce n'est pas une bonne période, mais ilfaudrait être aveugle pour ne pas voir que dans certains secteurs nousn'avons pas beaucoup d'options", a dit le technicien français vendredi.

"Sinous repérons un joueur vraiment bon, avec de l'expérienceinternationale, qui peut apporter quelque chose à l'équipe, enparticulier dans certains secteurs, nous le prendrons", a-t-il ajouté. "Nousavons besoin de faire venir quelques joueurs. C'est comme ça. Je penseque nous en ferons venir un ou deux en janvier. Est-ce que ce seradevant ? Pas nécessairement", a déclaré Houllier.

Aston Villa, qui reçoit Birmingham dimanche dans un derby, estactuellement 10e du Championnat d'Angleterre avec 3 victoires, 2 nulset 4 défaites.

Le leader Chelsea devrait conserver son avance de cinq points sur letrio des poursuivants en s'imposant à Blackburn dans un des derniersmatches des Rovers avant l'officialisation de leur rachat par unindustriel indien du poulet. Les Rovers, 17e, n'ont marqué qu'une foislors de leurs huit derniers rendez-vous avec les Blues et rien nelaisse supposer un renversement de tendance car les tenants du titren'ont plus encaissé de but depuis plus de huit heures de jeu sur lesscènes anglaise et européenne.

Arsenal et sa flamboyante attaque, qui marque en moyenne trois buts parmatch toutes compétitions confondues cette saison, reçoit à l'EmiratesStadium la lanterne rouge West Ham, dans un derby londonien a prioridéséquilibré. Inspirés par leur duo Fabregas/Nasri, le Français étantdans une forme étincelante (7 but en 7 matches), les hommes d'Arsene Wenger ne devraient faire qu'une bouchée des "Hammers". Quant à leurs lacunesdéfensives, elles ont des chances de ne pas apparaître face à la plusmauvaise attaque de Premier League.

Manchester City ne court pas non plus, a priori, de grand danger sur leterrain de Wolverhampton, avant-dernier avec une seule victoire. Ilfaudra quand même voir comment les "Citizens" auront digéré la claquereçue le week-end dernier à domicile face à Arsenal (0-3), d'autantqu'ils devront se passer de leur star Carlos Tevez, dont ils ont parutrès dépendants (7 buts en Premier League). Légèrement touché à lajambe, l'attaquant est parti quelques jours en Argentine pour soigneren même temps un certain mal du pays.

Le bilan des affrontements entre Manchester United et Tottenham à Old Trafford a de quoi rassurer Alex Ferguson,qui n'a pas perdu à domicile contre les "Spurs" depuis 1989, soit 20matches d'affilée. Même sans Rooney, dont l'absence à cause d'uneblessure à une cheville pourrait être plus longue que prévue, MU a lesressources pour prolonger cette série, d'autant que le jeune MexicainJavier Hernandez, auteur d'un doublé la semaine dernière lors de lavictoire à Stoke, a été mieux qu'une doublure.

Les supporteurs apprécieraient quand même un peu depanache de la part d'une équipe qui n'a pas encore franchementconvaincu cette année, même si elle reste la seule à n'avoir pas perdu(en 15 matches toutes compétitions confondues). Manchester United nepeut en tout cas pas se permettre de lâcher des points car ses troisgrands rivaux rencontrent tous des équipes classées dans le quatuor dequeue.

Pas de chocs pour cette journée !

Victoire d'Arsenal 1-0 , de Chelsea 2-1 et défaite de City 2-1

Entre Chelsea , Arsenal et les deux Manchester

Trois barres transversales et un expulsé : Arsenal a été battu par Newcastle, dimanche, au terme d'une journée pourrie pour les Gunners. Avec cette deuxième échec de suite toutes compétitions confondues, les protégés d'Arsène Wenger laissent Manchester United prendre trois points d'avance.

ARSENAL - NEWCASTLE : 0-1
But : Carroll (45e).

Arsenal a subi sa deuxième défaite à domicile de la saison face à Newcastle, 1 à 0, Déjà battus par West Bromwich à l'Emirates Stadium il y a un mois et demi, les "Gunners" ont encaissé le seul but de la rencontre juste avant la mi-temps, lorsqu'Andy Carroll a profité d'une mauvaise sortie du gardien Lukas Fabianski pour marquer de la tête. C'était son sixième but de la saison. Après cet échec, le troisième de la saison en Championnat mais aussi le deuxième d'affilée après celui encaissé mercredi à Donetsk (2-1) en Ligue des champions, Arsenal laisse la deuxième place à Manchester United. Si Chelsea l'emportait dimanche à Liverpool, l'équipe d'Arsène Wenger se retrouverait à huit points de la tête.

Les "Gunners" ont manqué de réussite, touchant deux fois la transversale sur un coup franc de Fabregas (13e) puis sur un tir de Walcott (48e), mais ils ont surtout cruellement manqué de tranchant en attaque. Ni Fabregas, décevant, ni Nasri, remplacé en début de deuxième période, n'ont réussi à déstabiliser la défense des "Magpies".Les entrées en jeu d'Arshavin, puis de Van Persie, pour la première fois de la saison après une blessure à la cheville, et de Bendtner, n'ont rien apporté.

En fin de match, les Londoniens en sont arrivés à balancer de grandes balles en avant, en contradiction totale avec leur style de jeu habituel, sans jamais se montrer réellement dangereux. Au contraire, c'est Newcastle qui aurait pu aggraver le score dans les arrêts de jeu si Ranger, partant seul au but, n'avait pas été stoppé irrégulièrement par le Français Koscielny, exclu pour ce geste. Les "Magpies", qui jouent sans Hatem Ben Arfa, victime d'une fracture de la jambe, depuis début octobre, ont signé leur troisième succès d'affilée et remontent à la quatrième place du classement, en attendant le résultat de Manchester City à West Bromwich.

Malgré des dépenses astronomiques, Manchester City reste dans l'ombre de United. Le derby, ce soir (21h00), peut être l'occasion d'inverser les rôles. Pour la première fois depuis 35 ans, les Citizens et Mancini rêvent de devenir le premier club de la ville. Une utopie pour les Red Devils.

Qu'il semble loin le temps où seuls les Red Devils régnaient sur Manchester. Un petit flashback s'impose. En 1999, lorsque United soulevait la Ligue des champions aux dépends du Bayern Munich (2-1), l'autre club de la ville, City, tentait d'arracher la montée en deuxième division, en jouant un barrage contre Gilligham. En onze ans, beaucoup de choses ont changé. L'arrivée du cheikh Mansour et ses pétrodollars n'est pas étrangère à cela. Depuis 2008, les Citizens ont dépensé 250 millions d'euros sur le marché des transferts, pour attirer les frères Touré, Kolo et Yaya, Carlos Tevez, chipé à MU, Emmanuel Adebayor, David Silva et une demi-douzaine d'internationaux anglais, tel Adam Johnson. Le mois dernier, lorsque Wayne Rooney était annoncé dans l'autre club de Manchester, l'occasion aurait même été idéale de supplanter le grand rival voisin. Car ces dépenses astronomiques n'ont qu'un but : faire de City le premier club de la ville, d'Angleterre, puis d'Europe.

Le derby de Manchester mercredi (21h00), 12e journée de Premier League, sera l'occasion de franchir le premier obstacle. Car pour la première fois depuis trente-cinq ans, ce match est à enjeu : en cas de succès, les Sky Blues reviendraient à hauteur des hommes de Sir Alex Ferguson, actuellement deuxième du championnat avec deux points de retard sur Chelsea. Patrice Evra, jamais avare d'un bon mot, a été le premier à lancer les hostilités : "Je pourrais dire que ce serait fabuleux de battre Manchester City, puisque c'est un match spécial, le derby, et que tout le monde veut gagner. Mais ce n'est pas la priorité. La priorité est de remporter la Premier League, sans perdre le derby, bien-sûr (…) Ils ont toujours dit qu'ils pouvaient nous battre, mais ils ne l'ont jamais fait !" Les chiffres donnent raison au latéral français, puisque depuis l'arrivée du milliardaire émirati, les Red Devils se sont imposés à chaque fois, aussi bien en championnat qu'en demi-finale de la dernière League Cup.

Evra, Vidic, la guerre des mots

Et Patrice Evra de critiquer également la manière dont City se construit, à coup de transferts et de millions : "Nous avons toujours cru aux jeunes joueurs et à la formation. Le boss croit en eux." "Dans l'histoire, Manchester United s'est toujours appuyé sur de jeunes joueurs. Si l'on compare avec ce qu'il se passe à City, ça n'a rien à voir", abonde Nemanja Vidic, le capitaine de MU. Roberto Mancini, l'entraîneur des Sky Blues, n'en a cure. L'Italien n'a pas voulu entrer dans cette polémique et rappeler, par exemple, que ses rivaux avaient dépensé 35 millions d'euros pour recruter Wayne Rooney - l'attaquant anglais est toujours en convalescence - il y a quelques saisons. "Je pense qu'ils savent que nous sommes une équipe forte, a-t-il argué dans la presse anglaise ces derniers jours. La situation a changé. Nous avons beaucoup de respect pour United, beaucoup de respect pour Fergie, car c'est un des meilleurs entraîneurs du monde, mais nous avons compris que nous pouvons être meilleurs qu'eux maintenant."

Une victoire dans ce derby serait d'ailleurs la bienvenue pour Mancini, sur la sellette ces dernières semaines, après trois défaites consécutives. Deux en championnat, contre Arsenal (0-3) et Wolverhampton (1-2) et une dernière en Ligue Europa, contre Lech Poznan (1-3). En Pologne, l'Italien s'était plaint de la presse britannique : "Les journaux sont après nous parce que Manchester City est dirigé par un Italien. Je suis désolé de dire ça mais les Anglais sont nationalistes quand on leur parle de football". Quant à un éventuel licenciement, Mancini ne s'inquiétait pas outre-mesure : "Ça n'arrivera pas. Dire que l'équipe est contre moi est un mensonge. Il y a eu des discussions musclées avec certains joueurs mais l'équipe est derrière moi, et les résultats suivront".

Mancini joue gros

Son équipe lui a apporté la meilleure des réponses dimanche dernier, en s'imposant contre West Bromwich Albion (2-0), grâce à un doublé de Balotelli. Mais l'attaquant italien, qui a pris un rouge pour s'être essuyé les crampons du Mulumbu, écopera le premier de ses trois matches de suspension mercredi. Roberto Mancini pourra certainement compter sur Carlos Tevez, qui devrait effectuer son grand retour, toujours remonté à l'heure d'affronter son ancien club, puisqu'il a marqué trois buts en quatre confrontations contre les Red Devils. Ce derby, c'est aussi une histoire personnelle pour l'Argentin.

L'attaquant ivoirien Didier Drogba, de Chelsea, a souffert ces dernières semaines d'une crise de malaria dont il a désormais récupéré, a déclaré mardi l'entraîneur Carlo Ancelotti.

"Nous l'avons appris hier soir, quand ses tests sanguins ont montré qu'il avait la malaria", a expliqué l'Italien. Drogba a manqué plusieurs matches depuis la mi-octobre. Dimanche encore, il n'est entré en jeu qu'en seconde période à Liverpool, après avoir été malade la nuit précédente.

"Il a ce virus et bien sûr il a perdu de l'énergie et de l'entraînement. Il a perdu sa condition physique. Mais il est sous traitement maintenant et il va bien", a assuré Ancelotti, précisant que Drogba jouerait mercredi contre Fulham en Championnat d'Angleterre. "Il a souffert, bien sûr, parce qu'il n'était pas à 100%, mais maintenant, après traitement, ça va aller mieux. Je ne sais pas où il a attrapé ça. Je lui ai donné quelques jours de repos, il est parti en vacances et après ça il avait la malaria. Mais c'est fini maintenant, il va bien", a déclaré l'entraîneur.

Drogba a marqué six buts en dix matches cette saison en Premier League.

Sunderland a créé la surprise en si'mposant sur la pelouse de Chelsea, sur le score sans appel de 0-3. Une victoire amplement mérité au vu de la rencontre.

Cette victoire de Sunderland fait les affaires d'Arsenal qui ne compte plus que deux points de retard sur les Blues, extrêmement décevants ce soir.

Chelsea encore une fois;)

Arsène Wenger est à la fois fier et inquiet à proximité d'Angleterre - France, où six de ses joueurs évolueront. C'est un honneur d'être aussi bien représenté pour un match de prestige, mais une rencontre à (trop?) forte intensité à six jours de la Ligue des champions...

Victime d'une déchirure à la cuisse en match amical face à la France (1-2), Steven Gerrard sera absent au moins quatre semaines des terrains avec Liverpool.

Un communiqué du club a révélé l'ampleur de la blessure de son homme fort et n'a pas caché son mécontentement : Fabio Capello l'a fait jouer pendant 85 minutes au lieu de 60 comme l'avaient réclamé les dirigeants de Liverpool.

John Terry révèle qu'il jouait depuis au moins cinq ans avec de fortes douleurs, quelques jours après avoir décidé un break. Le défenseur anglais, victime d'un problème nerveux à une jambe, n'en pouvait plus de faire semblant.

"La dernière fois que j'ai joué sans problème? Peut-être il y a cinq ans, peut-être plus, je ne peux vraiment me souvenir, déclare-t-il au Daily Mail. Si les anti-inflammatoires vous aident à passer au-dessus de la douleur, ça va. Mais la souffrance venue de cette blessure est la pire chose que j'ai jamais eu. Je ne pouvais pas continuer comme ça. Je vais avoir 30 ans, il faut que je commence à me soucier de mon bien."

Menant 2 à 0 à la pause, Arsenal s'est finalement incliné sur sapelouse face à Tottenham (2-3), lors de la 14e journée, samedi. LesGunners ont raté une belle occasion de prendre la tête de la PremierLeague. C'est la première victoire des Spurs chez leur rival voisindepuis 17 ans.

Evra qui marque, Rooney de retour, Chelsea et Arsenal qui perdent, Manchester United a réalisé la bonne opération de cette 14e journée. Les Red Devils, vainqueurs de Wigan (2-0), reviennent à hauteur des Blues qui ont encoe perdu, à Birmingham cette fois (1-0). Bolton a cartonné Newcastle (5-1).

Arsenal de Nasri champion

Auteur d'un quintuplé face à Blackburn (7-1), Dimitar Berbatov est devenu le quatrième joueur de l'histoire de la Premier League à réussir un tel exploit. Manchester United s'est imposé 7-1 et prend les rênes du championnat. Chelsea, qui se déplace dimanche à Newcastle, devra réagir.

Le vent bulgare a soufflé force 5 sur Blackburn. Dimitar Berbatov s'est offert un quintuplé au cours de la démonstration de Manchester United face aux Rovers (7-1), un succès complété par des buts de Ji-Sung Park (2-0, 23e) et de Nani (5-0, 48e). Le Franco-Congolais Christopher Samba a sauvé l'honneur en fin de rencontre (7-1, 84e). Cette balade victorieuse permet aux Red Devils de reprendre à Arsenal la tête de la Premier League, en attendant le déplacement de Chelsea à Newcastle dimanche. Si l'attention était focalisée ce samedi sur le retour de Wayne Rooney, titulaire pour la première fois à Old Trafford depuis sa blessure à la cheville et l'affaire de son vrai-faux départ, c'est Berbatov qui a crevé l'écran. Ce dernier, qui ne fait jamais les choses à moitié puisqu'il n'avait plus trouvé le chemin des filets en championnat depuis son triplé contre Liverpool en septembre dernier (3-2), a atomisé quasiment à lui tout seul Blackburn.

Il a ouvert le score après deux minutes seulement, profitant d'un centre de Nani légèrement dévié par Rooney pour pousser le ballon au fond des filets (1-0). Il a ensuite anticipé une passe en retrait vers son gardien d'un Pascal Chimbonda peu inspiré pour inscrire sa deuxième réalisation personnelle de la journée (2-0, 27e). Dès le retour des vestiaires, il a poursuivi son festival avec une action d'exception de 70 mètres, conclue tranquillement d'un plat du pied droit après une superbe fixation de Nani (4-0, 47e). Pour parachever son chef d'oeuvre, l'ancien joueur de Tottenham a inscrit deux nouveaux buts pleins d'opportunisme (6-0, 62e et 7-0, 70e) pour devenir le quatrième joueur de l'histoire de la Premier League (instaurée en 1992) à inscrire un quintuplé, après Alan Shearer, Andy Cole et Jermain Defoe. Cette très large victoire a aussi le mérite de ramener les joueurs de Sir Alex Ferguson à hauteur des Blues de Chelsea en qui concerne la différence de buts. On dit merci qui? Merci Berbatov, qui a ramené en guise de souvenir le ballon du match à la maison.

City manque le coche

L'autre club de Manchester avait l'occasion de revenir à égalité avec Chelsea en cas de victoire sur la pelouse de Stoke City. Opportunité manquée pour les hommes de Roberto Mancini, qui pensaient pourtant avoir fait le plus dur en ouvrant la marque à une dizaine de minutes du coup de sifflet final grâce à Micah Richards (0-1, 80e). Mais, les Potters n'ont rien lâché et ont finalement arraché le point du nul dans le temps additionnel, avec un but de Matthew Etherington (1-1, 90e+1). Ce sont deux points de perdus pour les Citizens, qui restaient sur deux victoires consécutives hors de leurs bases et qui démontrent une nouvelle fois leur incapacité à être constants.

Le milieu de terrain de Tottenham, Bale est estimé a plus de 60M€

Chelsea, Réal de Madrid et le Bayern sont sur sa piste!

Samir Nasri n'a pas peur d'aller défier Manchester à Old Trafford avec Arsenal, lundi soir. "C'était un peu plus effrayant d'aller jouer là-bas quand il y avait Ronaldo et Tevez", estime le milieu de terrain français.

Pour lui, MU "n'est plus la même équipe qu'avant. Ça reste une bonne équipe, mais moins impressionnante qu'avant offensivement."