[Réal] Les Merengues

Le Topic officiel du Real de Madrid C.F!

Zidane, fan de Mourinho


Zinedine Zidane ne tarit pas d'éloges au sujet du nouvel entraineur du Real de Madrid , Jose Mourinho "Pour moi José Mourinho est ce dont le Real Madrid avait besoin",a indiqué l'ancien meneur de jeu du Real et de l'équipe de France àMarca en Afrique du Sud, où il a parrainé la Danone Nations Cup. "L'équipeavait besoin d'un changement, d'un technicien avec de la personnalité,avec de la poigne et je pense que (Mourinho) correspond à ce profil", a ajouté "Zizou". "Jesuis tranquille et j'ai une grande confiance en Mourinho, comme en nosjoueurs, parce que la majorité sont jeunes et avec de grandes qualités",a-t-il souligné, en répondant à une question sur les succès à venir duclub madrilène. José Mourinho a été recruté par le Real Madrid justeaprès son retentissant triplé avec l'Inter de Milan : Calcio, Coupe d'Italie et Ligue des champions.

José Mourinho est polyglotte. Mesut Özil est allemand, d'origineturque et prend des cours d'Espagnol depuis son arrivée au Real Madrid.Pourtant, les deux hommes ne parviennent pas à se comprendre et c'est,selon nos confères d'Eurosport en Espagne, la raison de la mise àl'écart du milieu lors du match à Auxerremardi, et non la volonté de jouer avec trois attaquants. Le Portugaisreproche à son joueur ne pas comprendre les consignes sur le terrain.Et vice-versa. Pourtant, l'ancien joueur du Werder Brêmeavait, avec son compatriote Sami Khedira, fait part de sa volonté des'intégrer rapidement, quitte à prendre des leçons tous les jours. Visiblement, Ozil n'apprend pas vite. Ou peut-être leproblème vient-il de José Mourinho, sur les nerfs en raison desnombreuses occasions gâchées par sa formation depuis le début de lasaison. Sur ce coup, Ozil n'est pas vraiment fautif. Il était même l'undes grandes satisfactions de ce début de saison avec une prestation declasse face à l'Ajax en Ligue des champions, qui lui avait valu uneovation de Bernabeu. Il avait même déjà été affublé du surnom"antigalactique", preuve s'il le fallait, qu'il représentaitparfaitement ce que voulait Mourinho pour son Real. Un joueur altruisteau service des autres. Mais être le chouchou du public n'offre pas la garantie d'être dans les petits papiers de l'entraîneur. Mourinhon'en est d'ailleurs pas à sa première victime. Karim Benzema estcritiqué depuis le début de la saison. Pas assez travailleur, leFrançais. L’ailier Pedro Leon, lui, en a pris pour son grade en débutde semaine. "Ce n'est ni Zidane, ni Maradona ou Di Stefano",a-t-il opposé aux journalistes dont il ne comprenait pas la curiosité.A force de désavouer publiquement et régulièrement ses joueurs, motifsvalables ou pas, l'entraîneur du Real Madrid risque de se mettre sonvestiaire à dos. Au Real, il a toujours fait la loi. Il court aussi lerisque de brouiller son message. Aussi bien envers ses joueurs que lessupporters du club merengue.

Cristiano Ronaldo a laissé éclater son mal-être dû à son inefficacité, après la rencontre du Real Madrid à Auxerre.Aux journalistes le Portugais a lancé: "Anxiété. Cette p.... d'anxiété.Je ne veux pas parler" en guise de réponse à leurs sollicitations.

"Benzema a de grandes qualités. Les gens exagèrent souvent et luimettent la pression. Tous les joueurs passent par des périodes plus oumoins bonnes", confie Marcelo.

Comme il l'a annoncé mardi, José Mourinho n'a puni aucun joueur pour la contre-performance à Murcie en Coupe du Roi (0-0). Ni Karim Benzema, ni aucun autre joueur n'a été écarté pour le déplacement à Alicante samedi (20h00). « Ces derniers jours beaucoup de choses ont été écrites et dites sur Benzema et peu de choses sont vraies, indique l'entraîneur portugais en référence à la une du quotidien Marca mercredi qui titrait « Il est mort » avec une photo du Français. Il ne joue pas bien, c'est vrai, on ne va pas cacher la réalité. Mais il n'est pas mort, il n'est pas hors du groupe. Je n'ai pas convoqué un attaquant de la réserve à sa place. »
Mourinho a par ailleurs du mal à comprendre que le Français cristallise autant de critiques : « Il y a d'autres équipes avec des joueurs qui ont coûté cher et qui ne mettent pas un but et on n'en parle pas autant. » A nouveau le Portugais a loué sa « relation personnelle très positive, sans aucun problème avec Benzema. », mais il a aussi annoncé qu'il retrouvera le banc de touche à Alicante. « Vous savez il y a deux mois on parlait du manque de réalisme de Ronaldo et regardez aujourd'hui il marque à chaque match. » Benzema sera donc dans le groupe contrairement à Lassana Diarra, à nouveau forfait en raison d'une inflammation à l'aine. - Jean-Louis TOURRE, à Madrid
Le groupe : Casillas, Dudek, Adan, Carvalho, Pepe, Ramos, Albiol, Marcelo, Arbeloa, M. Diarra, Khedira, Granero, Alonso, Canales, Ozil, P. Leon, Di Maria, Ronaldo, Benzema, Higuain.

Match nul de real en coupe du roi 0-0 contre une equipe de D3 !

Il y a une semaine à peine, la presse espagnole le donnait pour mort. Mais en deux matches, Karim Benzema a sorti la tête de l'eau. A nouveau déterminant lors de son entrée à San Siro, l'attaquant français a été publiquement félicité par José Mourinho, lequel envisage de le titulariser bientôt.



La roue tourne vite en football. Aussi vite que la cote de Karim Benzema auprès de son entraîneur. Voilà une semaine, l'attaquant français était au fond du trou. "Il est mort", avait même titré Marca à propos de l'international tricolore après une pâle sortie en Coupe du Roi. Un titre en guise d'interprétation des propos de José Mourinho, ulcéré par le manque d'investissement de son joueur.

Neuf jours plus tard, le même journal met à nouveau Benzema à la une, mais, cette fois, avec une perspective beaucoup plus alléchante: celle d'une possible place de titulaire, dans un avenir proche. Tout est parti d'une phrase lâchée mercredi soir par Mourinho lors de la conférence de presse d'après match à San Siro. Le Real venait d'obtenir le point du nul face à l'AC Milan, grâce, notamment, à Benzema, passeur décisif pour Pedro Leon sur l'égalisation madrilène dans le temps additionnel. "S'il continue comme ça, a déclaré Mourinho en parlant de Benzema, viendra un moment où son coach devra le remercier, et pas seulement en conférence de presse, mais en lui offrant une place de titulaire. Et ce moment va arriver, il va falloir faire tourner l'effectif."

"Je suis heureux pour lui"

Il faut toujours interpréter prudemment les propos de Mourinho, adepte du contre-pied. Mais le technicien portugais sentait qu'il était temps de féliciter publiquement l'ancien Lyonnais, qu'il avait beaucoup brocardé depuis le début de la saison. Mais en relevant la tête en l'espace de deux matches (il avait déjà effectué une entrée remarquée en championnat le week-end dernier, étant impliqué sur les deux derniers buts du Real) et cinq jours, Benzema a montré qu'il possédait une certaine force de caractère. Mercredi soir, il a même fini dans les bras de son entraîneur après le coup de sifflet final, preuve qu'il n'y a pas l'ombre d'un problème entre les deux.

Mourinho a toujours fonctionné de la sorte, titillant les jeunes joueurs dont il estime pouvoir tirer beaucoup et qui, de son point de vue, ne donnent pas assez. En général, ses cibles acceptent d'autant mieux ses critiques, même publiques, que le Portugais a l'habitude d'être juste. Il l'a démontré encore mercredi en encensant Benzema. "Karim a changé. Je suis heureux pour lui, a-t-il encore confié. Benzema est content et satisfait ce soir (NDLR: mercredi soir) et je suis très content de son travail." Dimanche soir, le Real reçoit l'Atletico pour le derby de Madrid. L'occasion, peut-être, pour Mourinho, d'allier les actes à la parole en titularisant Benzema. A moins que ce ne soit pour (un peu) plus tard.

Marca dévoile dans son édition du jour que Zinédine Zidane et Marco Materazzi se sont croisés mercredi soir à Milan, en marge du match de Ligue des Champions entre le Milan AC et le Real Madrid (2-2). Selon le quotidien espagnol, les deux hommes ont même discuté, avant de se donner une accolade.



Le temps aurait-il fait son oeuvre ? Apparemment. Selon le quotidien espagnol Marca, Zinédine Zidane et Marco Materazzi ont échangé quelques mots mercredi soir dans un hôtel de Milan. L'ancien numéro 10 de l'équipe de France (108 sélections, 31 buts), auteur du coup de boule le plus célèbre de l'histoire, accompagnait le Real Madrid et est tombé par le plus grand des hasards sur Marco Materazzi, venu saluer son ancien entraîneur à l'Inter, José Mourinho.



Zidane retrouve Materazzi.

Les deux hommes ont commencé par se toiser. Rien d'exceptionnel. Zinédine Zidane ne répète-t-il pas depuis l'incident qui a marqué à jamais l'histoire de la Coupe du monde qu'il ne pardonnerait pas le défenseur italien ? La suite est plus étonnante. Selon le quotidien espagnol, Zidane et Materazzi se sont mis à discuter quelques minutes dans le hall de l'hôtel. Ont-ils parlé du 9 juillet 2006 et l'altercation qui les avait opposés durant la finale de la Coupe du monde perdue par les Bleus face l'Italie ? Personne et pas même Marca ne le sait. Quoi qu'il en soit, Zidane et Materazzi se sont séparés par une accolade. Et non sur un coup de tête. C'est pas plus mal.

Dans l'affaire de la réconciliation Zidane-Materazzi, la Gazzetta Dello Sport a ce matin des informations qui contredisent Marca. Le Français et l'Italien se seraient bien croisés mais sans vraiment faire la paix... Marco Materazzi vient de le confirmer.

Hier, le quotidien madrilène annonçait que Zinédine Zidane et Marco Materazzi avaient fait la paix lors d'une rencontre fortuite dans le hall de l'hôtel ou étaient hébergés les Madrilènes à Milan. Selon le journal italien, les deux hommes se seraient simplement croisés dans le parking. La rencontre aurait surtout embarrassé Zidane.

Le Français, qui n'a jamais pardonné à l'Italien la finale de la Coupe du monde 2006, se serait rendu compte très très tard que Materazzi venait vers lui. Au départ, il pensait qu'il s'agissait d'un fan. Embarrassé, il aurait seulement "concédé" une poignée de main très froide.

Rien à voir avec l'accolade que Marca a rapportée jeudi. L'information vient d'ailleurs d'être confirmée par l'Italien. "Ce qui est sûr, c'est qu'il n'y a pas eu d'accolade, a-t-il simplement expliqué avant d'ajouter un "laissons-la faire le tour" à un journaliste qui lui disait que l'information faisait le tour du monde.

José Mourinho est très satisfait des dernières performances de Karim Benzema "qui finira par être titulaire" s'il continue comme ça". "Il joue très bien en ce moment", a poursuivi l'entraîneur du Real Madrid, à la veille du 16e de finale retour de Coupe du Roi contre le Real Murcie (0-0 à l'aller).

"Il a beaucoup de classe et il fait ce qu'on attend de lui, a ajouté l'entraîneur portugais. Demain (mardi), il sera titulaire et nous avons besoin qu'il marque. C'est un match décisif et j'attends de lui une réponse positive, comme lors des derniers matches. S'il travaille dans cette direction, il finira par être titulaire dans cette équipe".

Le plus souvent remplaçant depuis le début de la saison, l'attaquant avait été titularisé pour le match aller contre Murcie (D3), mais n'avait pas été très en vue. L'international français a été beaucoup plus convaincant lors des derniers matches du Real, notamment à Alicante (victoire 3-1) puis à Milan en Ligue des champions (2-2), avec à chaque fois une passe décisive.

Halla Madrid

Tour à tour entraineur de Porto, Chelsea et l'Inter, le Portugais Jose Mourinho a reconnu ressentir une certaine pression à la tête du Real Madrid.

José Mourinho a indiqué ressentir une certaine "pression" pour remporter des titres le plus "rapidement possible". "Dans ces grandes institutions la pression sociale est forte", a estimé l'entraîneur du Real Madrid dans les colonnes du quotidien Sportif Record. "L'idéal serait de rester jusqu'au terme de mon contrat. Mais je sais, et nous le savons tous, que pour cela je ne peux rester un, deux ou trois ans sans remporter des titres. J'ai toujours su les règles du jeu", a-t-il expliqué.

Interrogé également sur l'attaquant vedette de son équipe, Cristiano Ronaldo, Mourinho n'a pas tari d'éloges à son égard. "Il est fantastique. Un garçon extraordinaire, a-t-il dit. Il est physiquement plus fort que jamais. Je crois que toutes les conditions sont remplies cette année pour qu'il fasse sa meilleure saison".

L'entraîneur portugais, qui avait été invité en octobre à diriger temporairement la sélection du Portugal avant que son club ne refuse de le céder, a confié que cela avait été "sa plus grande frustration de 2010". "Je crois que je ne serai jamais entraîneur en sélection, pour une question de mentalité, de personnalité, a-t-il affirmé. Mais à ce moment là, j'étais motivé et convaincu de pouvoir le faire".